La préférence nationale : réponse à l’immigration

  L’immigration de masse venue du tiers monde déstabilise nos systèmes de protection sociale, aggrave la crise de l’école, menace la paix civile et fait des Français des étrangers dans leur propre pays.
  Pour sauvegarder leur identité et leur souveraineté, les Français doivent réaffirmer avec force le principe de la préférence nationale qui légitime les différences de droits politiques et sociaux entre citoyens et étrangers ; ils doivent défendre les valeurs qu’ils ont héritées de leur histoire et refuser la société multiculturelle, contraire à leurs traditions ; ils doivent revaloriser le droit de la nationalité. Ils doivent enfin organiser le retour, dans la dignité, des étrangers qui ne peuvent ou ne veulent pas s’assimiler.

Albin Michel, 1985
ISBN 2-226-02233-3, 272 p.

Introduction : Un débat enfin ouvert

I – Identité nationale et immigration
1 – Les trois vagues de l’immigration
2 – La « fin des immigrés » ou la fin de la France ?
3 – Le choc de l’Islam
4 – La crise des institutions nationales
5 – La paix civile en question
6 – Le double déracinement
7 – La préférence nationale
8 – Naturalisation ou départ

II – Souveraineté nationale et immigration
9 – Immigration et nationalité
10 – Revaloriser la nationalité française
11 – Valoriser la citoyenneté
12 – Restaurer la souveraineté
13 – Retrouver le sens du droit d’asile
14 – Remettre l’école au service de la nation

III – Préférence nationale et immigration
15 – Préférence nationale et emploi
16 – Préférence nationale et prestations sociales
17 – Logement : de la préférence étrangère à la préférence nationale
18 – Oui, le retour est possible
19 – Faciliter le retour

Conclusion : Rendre la parole au peuple

Avertissement

Les textes présentés ici sont issus des travaux d’une commission du Club de l’Horloge dont la composition était la suivante : Georges Berthu ; Gérard Canal ; Loïc Darras ; Isabelle Deflandre ; Michel Garnier-Thenon ; Jean-Antoine Giansily ; Pierre-Marie Guastavino ; Jean-Yves Le Gallou (président de la commission) ; Pierre Maisonhaute ; François d’Orgeville ; Christiane Pigacé et Bruno Tellenne.